Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, L’Épouse Hypersexuelle: Agun, Philippe Et Moi (2), Un Nouvel Équilibre

AVERTISSEMENT

Ce texte se veut un complément à celui que j’ai publié sur HDS le 7 septembre 2020 (« Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle: Agun, Philippe et moi »), en réponse à ceux et celles qui estiment que je domine Agun. Ce texte décrit un nouvel équilibre dans « mes » couples, qui n’a pas été facile à mettre en place, mais il est essentiel pour nous et rend plus facile les périodes souvent longues où nous ne trouvons pas de partenaires pour nos jeux candaulistes.

Ce texte ne respecte pas la chronologie, car j'aurais du d'abord parler du moment où, avec Philippe, Agun est devenue bisexuelle. je le ferai dans une prochaine publication.

Je précise aussi que cette publication s'est faite en accord avec Philippe et surtout Agun.

LE CONTEXTE

Ce dont je vais parler s’est produit à l’automne 2019, à un moment où je souffrais beaucoup des difficultés croissantes rencontrées par Philippe pour organiser les séances candaulistes qu’il avait promis de faire, ce qui est objectivement compliqué, au vu des conditions strictes que nous avions-nous même fixées et que je rappelle : pas de rencontres dans la région où nous vivons, pas de collègue de travail, refus de tout contact via HDS, limitation à une seule rencontre par participant. Il faut y ajouter nos contraintes familiales et le manque de disponibilité de Philippe, car il est formellement exclu désormais que cela se déroule hors de sa présence. Je renvoie, pour davantage de détails sur le « cadre » que nous nous sommes fixés, à la lecture du texte suivant : « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : Pacte candauliste et amendements », paru le 20 juin 2019.

Instruits par l’expérience, nous nous méfions également de nos propres dérives et de la tentation (la mienne, mais aussi de la part de Philippe) à se laisser aller envers des mâles dominants.

Les occasions sont donc peu fréquentes, et se produisent principalement lors des vacances ou lorsque nous bénéficions dans nos recherches de l’aide active de Christine et de son mari, qui connaissent bien les milieux libertins ainsi que les besoins qui sont les nôtres, moi en tant qu’hypersexuelle et Philippe en tant que candauliste.



Cette situation est difficile et très frustrante pour moi. Il n’est pas question de retomber, parce que je me retrouve d’évidence en situation de manque, dans les excès auxquels je me suis livrée dans une période pas si lointaine et qui ont laissé des traces, la crise la plus grave ayant été ma liaison avec N.

La solution la plus évidente serait que Philippe, en tant que conjoint, assume pleinement cette situation, en répondant lui-même aux besoins de ma libido. Certes Philippe a beaucoup changé depuis l’époque de notre rencontre, il y a 20 ans, où je me sentais frustrée par ses « prestations ». Il a fait depuis beaucoup d’efforts sur ce plan, au point d’avoir su me reconquérir également sur ce terrain alors que j’étais en couple avec Hassan. Je renvoie sur ce point plus particulièrement aux deux textes suivants :

• « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (34) : adultère… avec Philippe. », publié le 7 octobre 2017

• « Philippe, le mari candauliste et Olga, l'épouse hypersexuelle (35) : loin de Hassan, proche de Philippe. » publié le 19 octobre 2017

Avec Philippe, que j’aime de toute mon âme, nous faisons l’amour avec une infinie tendresse et nous y trouvons beaucoup de bonheur et de plaisir. Pour autant, dans ces moments-là, lorsque je ressens ces pulsions, j’ai besoin, j’emploie le terme pour être directe, d’être baisée et c’est donc un type particulier d’étreinte virile que je recherche. Philippe, aussi forts que soient les sentiments qui nous unissent, n’est pas celui qui peut apaiser à ce moment-là le feu qui couve en moi et il le sait.

Je précise que ce n’est pas qu’une question de taille ou d’endurance, même si ça compte. C’est un ensemble qui fait que cela correspond à un amant pour lequel je n’ai pas de sentiment et dont j’attends seulement qu’il me fasse enchaîner les orgasmes et me laisse brisée de plaisir.

J’ai donc pensé demander à ma compagne Agun de m’aider.


En ce qui concerne Agun, j’ai, à plusieurs reprises, expliqué que c’était moi qui jouais de préférence le rôle actif. Non pas que notre couple saphique soit une caricature, où je serais « l’homme » et où elle serait la femme. Si j’aime posséder Agun avec un gode-ceinture, nos étreintes sont d’abord, elles aussi, des moments d’infinie tendresse, de longs préliminaires, de baisers et de caresses, où nous nous occupons l’une de l’autre, où les cunnilingus succèdent aux « 69 » et aux doigtages.

MA DEMANDE A AGUN

Je me suis donc ouverte de ma frustration à Agun, avec la plus grande franchise, alors que nous étions dans les bras l’une de l’autre, nues sur son grand lit après une étreinte passionnée :

• Chérie, tu sais, ça fait des semaines que Philippe cherche un amant pour moi et ne trouve pas.

• Je sais que ce n’est pas facile, mon Olga. Vous avez défini ensemble des règles qui sont très restrictives mais qui sont indispensables, pour éviter de retomber dans les dérapages de ces dernières années

• C’est pour ça que je les ai acceptées. Je l’ai fait aussi parce qu’après ce qui s’était passé avec N, Philippe n’aurait jamais accepté que je revienne auprès de lui sans ces conditions. Je n’avais pas le choix et je ne l’ai fait pas pour retrouver « ma » place, mais parce que je ne peux pas vivre sans lui.

• Il t’aime toujours aussi fort mais il ne pardonnerait plus en effet si tu trahissais à nouveau sa confiance.

Agun ajouta, en déposant sur mes lèvres un tendre baiser :

• Et tu le sais moi non plus, mon amour. J’ai beaucoup souffert quand tu nous as abandonnés pour rejoindre N

• J’en suis consciente et je ne veux pas te perdre et perdre Philippe. Et pourtant, tu sais, j’ai peur de moi-même. Il y a des moments où j’ai envie de mettre une tenue de circonstance et de partir en chasse, de trouver des mâles et de ne rentrer que lorsque je serai repue. Dans ces moments-là, je me sens comme Messaline lorsqu’elle allait, la nuit tombée, à Suburre, déguisée en Lysisca.


• Ne fais pas ça, je t’en prie !

• Je ne le ferai pas, mais je dois trouver autre chose en attendant que Philippe puisse organiser une rencontre comme j’en ai besoin. Je sais qu’il fait au mieux, qu’il le fait ça pour moi, mais aussi parce que, en tant que candauliste, il aime ça.

• Tu n’en n’as pas parlé avec ton médecin, avec les théutes qui te suivent, afin de calmer ta libido ?

• Bien sûr que si. Mais Philippe et moi avons toujours refusé un traitement par médicaments, comme avait essayé de me l’imposer Hassan. Je ne suis pas nymphomane mais hypersexuelle. Je parviens à me contrôler, mais j’en souffre. Quand ce besoin se fait sentir, je pense à ces mâles qui m’ont marqué, qui me laissaient brisée quand ils en avaient fini avec moi. Vois-tu, Rachid, Hassan, Ahmadou ou N étaient détestables, mais répondaient à ces besoins.

• Et que comptes-tu faire alors ?

• J’ai besoin de toi, j’ai besoin que tu m’aides.

• Comment ça ?

• C’est simple. Je voudrais que nous inversions les rôles, que tu portes un gode ceinture et que tu me baises, que tu me démontes, jusqu’à ce que je sois soulagée.

• Mon Olga, je ne peux pas faire ça !

• Et pourquoi donc ? Tu aimes ça quand je le fais sur toi, non ?

• Bien sûr que j’adore. Mais c’est normal, je suis ta femme et j’aime que tu me possèdes. Mais je n’envisage pas l’inverse. J’aurais trop peur de te faire mal, je ne saurais pas répondre à ce que tu attends, à savoir être pilonnée sans ménagement. Comment te traiter comme tu le veux dans ces moments-là, toi la femme que j’aime ? Je suis désolée, je ne peux pas faire ça.

Pour la première fois depuis notre rencontre, 15 ans auparavant, j’ai eu pour Agun un regard dur, qui traduisait plus que de la déception, de la colère :

• Je croyais que tu m’aimais !

• Comment peux-tu en douter ?

• Je constate seulement que tu ne veux pas m’aider.
Je suis vraiment déçue.

• Ma chérie, comprends-moi, j’ai toujours répondu à tous tes désirs, y compris il y a peu pour une expérience avec Philippe en ta présence.

• Il me semble que tu ne l’as pas regretté !

• Non, bien au contraire. Mais ce que tu me demandes exige vraiment que je force ma nature. Ce n’est pas possible !

J’ai eu à ce instant, je l’avoue, l’envie de la contraindre, de la forcer. Je me suis retenue. Agun s’est approchée, ses yeux brillaient, montrant son émotion. Elle voulait m’embrasser, me prendre dans ses bras. Je l’ai repoussée assez brutalement :

• Laisse-moi, veux-tu !

J’ai quitté le lit, remettant rapidement mes vêtements aussi vite que possible et j’ai quitté l’appartement, sans donner suite aux larmes et aux paroles d’Agun, qui me suppliait de ne pas partir. Je suis sortie sans un mot, attendant d’être à l’extérieur pour laisser moi-aussi libre cours à mes larmes. J’étais consciente que je m’étais comportée avec brutalité, pratiquant un chantage affectif envers un être si sensible et qui m’adore.

J’ai eu envie de revenir sur mes pas, de lui demander pardon et d’oublier tout ça dans ses bras, mais, par orgueil, je ne l’ai pas fait. J’étais en train de gâcher une histoire d’amour qui avait pourtant tout surmonter depuis plus de 15 ans.

Plusieurs jours se sont écoulés, sans contacts, même téléphoniques, avec Agun. J’étais d’une humeur massacrante envers Philippe et les s. Philippe, qui me connait bien et qui avait compris que quelque chose n’allait pas entre Agun et moi, essaya de me faire parler. Je refusais très sèchement d’en parler, lui disant seulement :

• Mêles-toi de ce qui te regarde et commence par tenir les promesses que tu m’as faites !

• Chérie, tu es injuste, tu sais bien que ce n’est pas si facile !

• Débrouilles-toi ! Ce que je sais est que je souffre de cette situation et que tout le monde s’en fiche !

Cette nuit-là, déprimée, j’ai fait chambre à part, refusant d’ouvrir à Philippe et de le rejoindre. J’étais en pleine crise, en train de me rendre odieuse envers tous mes proches. Cette période a d’ailleurs contribué aussi à la détérioration de mes relations avec ma fille aînée, Lucie.

Du fait d’un orgueil stupide, je n’osais pas faire le premier pas. Ce fût Agun qui prit l’initiative. Après plusieurs appels que je n’avais pas pris, elle m’envoya un message :

• Chérie, je t’aime et cette dispute est stupide. J’ai beaucoup réfléchi. Appelle-moi, mon amour !

Mon cœur s’est mis à battre plus fort. Merveilleuse et amoureuse Agun, à qui je venais pourtant de faire du mal. Je fis le second pas et composa son numéro :

• Mon Agun, c’est moi. Je t’aime mon trésor. Je t’ai fait du mal. Oublions tout ça et pardonne-moi s’il te plait !

• C’est moi qui ai été stupide et égoïste. J’ai beaucoup réfléchi. Je suis d’accord !

• Chérie, tu es merveilleuse, mais je ne veux pas que tu fasses ça « pour me faire plaisir ». Tu es douce, tu es tendre, tu es si féminine. Et je te demande de me traiter comme si tu étais un mâle macho !

• Olga, je t’aime, nous sommes un couple. Nous devons être à l’écoute l’une de l’autre. Tu es en crise, en manque, tu as besoin de ça. Tu risques à un moment donné de craquer, de faire des bêtises comme tu en as si souvent faites dans le passé.

• Dis-moi une chose chérie, tu as parlé de tout ça avec Philippe, n’est-ce pas ?

• Bien sûr. Il est venu me voir. Il est très malheureux, il se sent responsable, parce qu’il ne trouve pas ce qu’il faut. Je sais que Philippe est candauliste et qu’il trouve beaucoup de plaisir à te voir avec un autre homme. Je l’admire pour ce qu’il fait pour toi. Je me suis donc dit que moi aussi je devais t’aider.

• Je ne veux pas que tu m’aides, que tu le fasses par compassion, que tu te sentes obligée.

• Philippe m’a beaucoup parlé de ce qui se passait quand vous aviez ces séances candaulistes, de ton comportement, de ce que tu avais besoin. Alors je me suis dit que non seulement je voulais être témoin de ton merveilleux plaisir, mais que je voulais te dispenser ce plaisir. Je veux provoquer tes orgasmes, sous mes assauts. En un mot, je veux le faire, pas parce que tu me l’as demandé, mais parce que j’en ai envie !

Notre conversation m’avait émoustillé. Je sentais monter en moi le désir, et comme toujours dans ces cas-là, ma chatte s’humidifier et mes tétons se durcir.

• C’est vrai ce que tu me dis, amour ?

• Je dois te le dire comment ? J’ai envie de toi. J’ai envie de te baiser et dès ce soir, tu entends ? Tu viens et tout de suite ! Tu es ma femme et tu vas m’obéir !

• Je suis à toi ! Je viens tout de suite !

J’ai laissé un mot à Philippe, pour lui dire que j’allais chez Agun « pour me faire baiser ». Qu’il ne m’attende pas cette nuit. Je comptais sur lui pour trouver une explication pour les s, puisque je m’en allais juste avant leur retour de leurs activités. Je ne savais pas à ce moment-là qu’Agun avait immédiatement informé Philippe, pour le prévenir et le rassurer. Philippe a dit à Agun qu’il aurait aimé assister, celle-ci lui a répondu que, pour une première fois, elle préférait que nous soyons seules toutes les deux, mais qu’une autre fois, ce serait avec plaisir. Philippe conclut la conversation en disant à Agun : « Baise-la bien ! Ne la ménage pas. N’oublie pas qu’elle a besoin d’être démontée ! »

Le trajet en voiture me parut bien long. Avec Agun, nous sommes un « vieux » couple et pourtant, ce jour-là, j’étais excitée comme si j’allais retrouver un amant.

Lors des arrêts aux feux tricolores, je ne pouvais résister à la tentation de déboutonner ma robe, et de caresser mes seins et mon clitoris. Je me fichais de m’exhiber au regard des autres automobilistes.

DELIVRANCE

Arrivée chez Agun, je grimpe les escaliers en courant et sonne nerveusement.

Je n’ai pas longtemps à attendre. Agun ouvre immédiatement et comprend mon excitation. Ma robe est déjà déboutonnée et laisse apparaitre mes seins. Je n’ai évidemment pas mis de soutien-gorge et mes tétons dressés traduisent mon excitation.

Après avoir lié nos bouches et nos langues rageusement, Agun me saisit les deux seins et me serre contre elle. Elle me pousse contre le mur et je sens son bas-ventre collé contre mes fesses. Elle commence à se frotter à moi et me dégage la nuque pour mieux pouvoir la lécher. Les mains d’Agun empoignent ma poitrine, alors qu’elle mord ma nuque et me fait des suçons.

Mes yeux sont mi-clos, je reste presque totalement passive, me contentant de remuer un peu les fesses pour augmenter notre plaisir. Soudain, elle me retourne brusquement et plonge sa langue dans ma bouche. Je réponds avec excitation à son baiser, tout en prenant ses délicieuses fesses fermes et en rapprochant au maximum mon pubis contre le sien.

Agun décide alors de m’allonger par terre. Elle semble si énergique que je décide de me laisser guider. Elle enlève ma robe et ôte ma culotte. D’avance, ma respiration s’accélère à l’idée de ce qu’elle va me faire. Et je ne suis pas déçue. Elle me lèche le minou à grands coups de langue dans le vagin. Je me mets à remuer et elle me bloque les cuisses de ses mains, ce qui a pour effet de m’exciter encore plus. Alors que je commence à atteindre le nirvana, elle s’arrête et me fais me retourner. Je me mets à quatre pattes, je suis heureuse, elle va faire ce que je lui ai tant demandé.

Je tourne la tête et la vois sortir de son sac à main un énorme gode ceinture plaqué sur son pubis. Ce n’est pas un de ceux que nous utilisons habituellement, elle l’a acheté spécialement pour l’occasion. C’est la première fois qu’elle prend une telle initiative.

A son tour, elle enlève sa robe et met l’engin autour d’elle. Elle se met devant moi pour bien me montrer ce qui m’attendait.

Pour la suite, nous allons dans sa chambre, je m’installe à quatre pattes sur le lit. Devant moi, Agun finit de se harnacher avec le sexe factice.

• Suce me dit-elle

Surprise mais envieuse, je m’exécute et enfourne la queue en la mouillant abondement de salive.

• Suce, suce, après je vais te baiser !

Les mots crus m’excitent je sens que je mouille en me caressant. Agun m’att par les cheveux pour mieux accompagner les va et vient.

Agun vérifie que je suis bien lubrifiée. Satisfaite par la quantité de jus qui s’écoule de mon sexe, elle passe le bout du gland de plastique entre mes cuisses et vient le frotter contre ma vulve. Les mouvements involontaires de mon bassin trahissent mon désir. Je me mets en position d’être fourrée. Mes lèvres vaginales s’entrouvrent et laissent passer le gros membre qui met quelques secondes à entrer totalement en moi. Ma maîtresse fait durer le plaisir de l’intromission, comme pour mieux solliciter mes sens.

Je finis par m’enfiler moi-même sur le pal qui vient buter au fond de ma caverne d’amour. Puis j’entame un va-et-vient lent mais déterminé, aidé par Agun qui me tient les hanches.

• Ca fait longtemps que tu attendais ça, hein ?

Je ne la pensais pas capable de me parler comme ça. Je suis tellement en extase que je réponds :

• Oui, oui, chérie, continue plus fort ! Plus vite! Encore!!!!

Elle adopte rapidement un rythme soutenu tout en me tenant fermement les hanches et en me griffant le dos. Agun me claque le cul et me dit des insanités en me baisant. A sa voix, j’entends qu’elle prend elle aussi beaucoup de plaisir en me pinant.

• Tu aimes ça, ma salope adorée ?

• Vas-y ! Plus profond ! Plus fort ! Baise-moi ! Oui, oui, oui, c’est bon, encore, encore !

Elle me défonce de son mieux. Je sens un orgasme fantastique monter en moi et un fluide de plaisir m’hérisse tout le corps quelques secondes plus tard.

Alors Agun ôte son engin et approche sa chatte de mon visage. L’invitation est claire et j’y réponds avec gourmandise. C’est à son tour de jouir, je veux la remercier et lui montrer combien je l’aime et la désire.

Je me concentre sur son clitoris. Sentant son désir s’intensifier, je lui enfonce deux doigts dans le vagin et pour terminer, un doigt supplémentaire dans l’anus, profondément. Elle lève les yeux au ciel et agrippe ses mains à ma tête. Encouragée, j’accélère la cadence de mes doigts et de mes coups de langue.

Elle s’écroule dans mes bras et nous nous embrassons encore un long moment en nous caressant les cuisses, les seins et le sexe. Puis nous nous endormons, brisées par le plaisir, heureuses. Je me réveille.

Nous avons dormi dans les bras l’une de l’autre. Quand je me réveille, Agun est dans la cuisine. Elle a préparé le petit déjeuner et se promène nue dans son appartement. Je mets un tee-shirt que je lui ai emprunté et m’assied à table.

Nous mangeons silencieusement, l’une en face de l’autre. Nous ne faisons pas de commentaires et nous contentons de sourire. Je suis heureuse de ce qu’elle a fait la veille, répondant ainsi merveilleusement à mes besoins, me donnant une merveilleuse preuve d’amour.

Nous finissons de manger à peu près en même temps. Je débarrasse, je veux faire la vaisselle. Je la sens venir derrière moi. Alors que j’ai fini et que je m’essuie les mains, elle me sert par la taille. Je me retourne et lui dis que la soirée d’hier a été merveilleuse. Nous nous embrassons fougueusement. Sa main descend le long de mon tee-shirt puis s’introduit dans ma chatte. Elle me la caresse et me serre un sein de l’autre main. Je lui malaxe les fesses pour ma part.

Agun s’accroupit alors et me lèche les fesses. Devinant ce qu’elle veut faire, je me recule un peu, permettant à sa langue d’atteindre mon sexe. Et en effet, elle se met à me lécher le vagin tout en tâtonnant le sol de ma main afin de retrouver son gode-ceinture qu’elle a intentionnellement laissé tout près. Elle retire sa langue et la remplace par ses doigts. Elle me mordille les fesses puis se met à me lécher l’anus. Je ne peux cacher que cela me fait un certain effet. Elle verse de la salive pour mieux l’humidifier et remplace de temps en temps sa langue par ses doigts afin de contrôler la dilatation.

• Oh oui, Agun, encule-moi mon amour !

• Je vais te casser le cul, ma belle.

Excitée par ces paroles si inhabituelles dans sa bouche, je la supplie de me prendre rapidement, tout en m’accrochant au bord de la cuisinière. Elle fixe son gode et me pénètre rapidement, sans ménagement, en me tenant les hanches. Petit à petit, elle se rapproche contre moi et je sens sa poitrine toucher mon dos. Elle s’accroche à mes seins et me sodomise comme si je l‘étais par un homme.

Je pousse des cris en continu. Agun me lèche le cou et glisse à nouveau ses doigts vers ma chatte. Elle s’arrête au clitoris cette fois-ci, et lui en fait voir de toutes les couleurs : tantôt du va et vient, tantôt des mouvements circulaires et tantôt des petits pincements tout en gardant continuellement le contact.

Tant pis pour les voisins, je hurle comme une folle et, tandis qu’elle me défonce littéralement le cul en appuyant les mains sur mes épaules, je me parcours les lèvres avec la langue en me demandant pourquoi nous avons attendu si longtemps.

Nous avons depuis renouvelé, y compris en présence de Philippe, cette expérience qui a profondément changé l’équilibre de nos rapports et qui m’a permis de surmonter, d’atténuer, de contrôler le sentiment de manque qui montait en moi, avant que Philippe ne parvienne à organiser une soirée ou un week-end où je pourrai, en sa présence et avec sa complicité active. Me livrer à celui qu’il aura choisi avec soin.

Agun et Philippe ont l’un et l’autre, des sentiments tellement forts pour moi. Avec le nouvel équilibre dans mon couple avec Agun, ils veillent, l’un et l’autre, à satisfaire ma libido et à calmer mes impatiences.

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